Lihma Shaemembre actif
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Note générale: C
Réputation:  |  Sujet: Fiche 1 - Kyoko Ryougi Jeu 28 Fév - 0:49 | |
| - Citation :
۞ NOM : Ryougi
۞ PRÉNOM(S) : Kyoko
۞ AGE : ///
۞ SEXE : Femme
۞ RACE : Shinigami
۞ GRADE SOUHAITER : Selon les besoins du forum
۞ AVATAR : Ranma de Ranma 1/2, la version fille de lui-même
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DESCRIPTION PHYSIQUE ET PSYCHOLOGIQUE
"Osciller entre mignon et sinistre" est le bon moyen de résumer Kyoko. C'est une personne de petite taille (1m60-65), fine, possédant des formes relativement prononcées, surtout au niveau de la poitrine, à son grand damne !
Ces futilités physiques à part, Kyoko a tout d'une femme qui pourrait plaire si du moins, elle évoluait dans un milieu le permettant, en clair, elle n'est pas là pour faire de la parade où son corps lui servirait d'atout, on parle dans un premier temps de survie et dans un second, de carrière militaire. Il n'y as pas de place dans sa vie pour avoir le temps de paraître belle et féminine, d'où des aspects très bourrus et garçon manqué, de même qu'un manque de pudicité manifeste.
Notre héroïne a fait du Hakuda sa spécialité principale et même si elle se débrouille en Kido (ce qui dénote d'une certaine intelligence et d'un contrôle du Reaitsu de bon niveau), endurcir son corps lui a permit d'acquérir une masse impressionnante, quoi que bien entendu, pas assez pour la faire ressembler à une amazone tout en muscle. Le côté athlétique est tout de même bien marqué, ses bras et jambes sont puissants, ses os solides et sa force, autant que sa vitesse n'ont rien à envier à ce qu'elle a dans la tête, un génie du combat comme on en vois rarement (mais qui semble étrangement commun au milieu des grands noms de la Soul Society), qui sait où sont ses limites et cherche à les surpasser continuellement...
Pour les détails on pourra parler de ses yeux, aux iris verts émeraudes ou plus précisément "son" œil, le droit, car le gauche... a eu comme un accident que l'historique vous détaillera. Il brille d'une lueur à la fois sauvage et énigmatique, contrastant magnifiquement (du moins pour ceux qui aime le style) avec ses cheveux d'un rouge écarlate. Les quelques mèches rebelles de sa chevelure encadre son visage ça et là, au milieu du visage en partant du front, sur les côté, à droite et la majeur partie est nouée en tresse qui repose le plus souvent sur l'épaule gauche (deux, voir trois fois plus longue que sur l'avatar).
Vous l'aurez compris, Kyoko est quelqu'un de très complexe, c'est un personnage dont l'attitude force à la méfiance, pousse à la prudence et parfois même au rejet. Sa manière de se comporter, tout en défi constant, à la recherche de rivalité, n'as d'autres but que lui permettre une approche, certes maladroite, bourrue et clairement inadaptée, mais son but est là, elle découvre de nouvelles personnes et celles qui sont assez courageuses pour l'accepter deviendrons soit des rivaux, soit l'objet de son instinct protecteur, qui est très puissant.
Facile à provoquer, impulsive, bagarreuse, certes, mais pas complètement cinglée. Kyoko est une personne pas facile d'accès et qui n'as pas facile à se sociabiliser, mais dont on ne se défait pas une fois que sa loyauté est acquise.
Partie cachée
Physiquement, le personnage ne change pas. Mentalement par contre, la vraie Kyoko et sa mère sont des opposées à bien des égards, là où la "vraie" est expansive, provocatrice, et impulsive, mais souriante et positive, sa mère est quelqu'un de calme, qui ne réagit à aucune provocation, paresse souvent, stagne dans sa manière de voir et penser les choses, ne trouve d’intérêt que dans très peu de choses et exprime rarement ses émotions.
Rien ne change par ailleurs sur leurs loyautés manifeste, chacune d'elles accorde de l'importance à la fidélité et n'es pas contre les amitiés, mais elles aussi complexe l'une que l'autre. En soi, très peu de trait ne change d'une à l'autre.
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HISTOIRE
L'enfant seul
L'enfance de Kyoko n'as rien de particulier, elle a vécu dans l'un des quartiers du Rukongai où les individus n'avaient pas de sandale, soit l'un de ceux situé après le cinquante-neuvième.
La violence manifeste dans lequel elle a baigné à très rapidement durcit son cœur, après tout, l'endroit d'où elle viens n'était pas propice à se faire des amis. Chacun vie, voir survie comme il le peut et quand des gens, comme elle, développe assez tôt un fort potentiel spirituel, la tâche devient très vite compliqué, en effet, il est bon de rappeler que normalement, une âme du Rukongai ne vie que d'eau fraîche, sauf si son énergie spirituelle latente est assez forte, dans ce cas, elle doit également trouver de la nourriture, rare, le peu qui en possèdent la garde jalousement.
C'est dans ce contexte où, devenue plus primitive qu'humaine, l'enfant seule qui à l'époque n'avait pas encore de nom, tenta de s'en prendre à quelqu'un possédant, d'après la rumeur, de grande quantité de nourriture (une rumeur qui a probablement été exagérée, notez bien), n’hésitant pas à recourir à la force pour arriver à ses fins...
Une figure parentale
Les choses auraient été trop simple si quelqu'un possédant de la nourriture au Rukongai aurait pu être si facile à éliminer, d'habitude, jouer des poings suffit pour Kyoko, mais là, notre héroïne s'était attaqué à un gros poisson. Si au départ elle ne s'en rendait pas compte, la personne qui lui faisait face, était bien loin d'être facile à battre. Elle esquivait tous les coups ou les bloquait sans difficulté et sans ménagement ni effort qu'à coup de prises de bras et de projections qu'elle lança Kyoko sur le sol plusieurs dizaines de fois avant qu'elle n'en puisse plus et perde toutes ses forces...
Cette personne était une femme de grande stature, une âme comme d'innombrables autres, vénérable par sa sagesse, respectée pour sa force mais rejetée pour sa différence manifeste. C'était quelqu'un de solitaire qui ne se mélangeait pas avec les autres, elle n'attendait qu'une chose : son heure, se réincarner et enfin passer à autre chose. Ryougi était son "nom".
Elle avait le talent spirituel et les capacités martiales nécessaire pour étudier à l'académie des Shinigami, mais ne l'avait jamais fait par total désintérêt. Pourtant, pour la première fois de sa vie, quelqu'un attira ses faveurs, notre jeune enfant sauvage qui rendue primitive et endurcie par la violence ne jurait plus que par elle, cette figure parentale allait commencer par lui apprendre à ne plus ne ressentir que la colère, à pouvoir parler, s'exprimer, réfléchir. Elle lui apprendra à se battre, à contrôler son don, à avoir une identité propre, sortir du lot. Kyoko fut le prénom qu'elle se donna.
L'histoire qui sommeil derrière ce prénom est assez confuse, mais Ryougi était convaincue qu'une personne qui a été importante un jour, dans sa vie, le portait, cela remonte à si loin qu'elle ne se souvient plus qui. Mais sa "fille" adoptive l'accepta avec beaucoup de fierté.
La cicatrice
Les années passèrent et Kyoko devint une guerrière redoutable. Son talent était exploité au mieux dans ce milieu si particulier, elle ne manquait plus de rien, mais se sentait quand même obliger d'affronter les individus forts qu'elle rencontrait, sans savoir réellement pourquoi.
La jeune femme sentait au fond d'elle que le combat allait lui apporter une réponse importante à une question qu'elle se posait constamment, quelle est sa place dans le monde ? Que doit-elle attendre de cette force et de ce pouvoir ? Au service de quoi doit-elle le mettre ?
Des réponses difficile à trouver dans la mesure où elle n'as aucun idéaux, elle ne connais pas le fonctionnement du monde et son approche pour en apprendre plus pouvait être perçu comme un comportement dévastateur envers ceux qui l'approchent et par ces même personnes, une chose dont elle souffrira aussi, en secret, la seule personne capable de le percevoir étant sa mère, mais avec elle aussi, les conflits prenaient de l'ampleur et étaient de plus en plus fréquents, Kyoko lui reprochant surtout son désintérêt pour tout...
C'est sur une dispute que les deux se quittèrent. Normalement, elles auraient dû réfléchir chacune de leur côté, puis se parler, mais elle n'en eurent pas le temps, un homme vêtu de noir et portant un sabre, vint dans le quartier pour rencontrer l'âme dont il avait entendu parler, celle dont le potentiel serait celui d'un Shinigami, comme lui. Il chercha quelques temps, pour au final, trouver Kyoko seule, sur le toit d'une habitation un peu plus haute que les autres, mais abandonnée depuis très longtemps. Il s'assura qu'elle était celle qu'il recherchait, elle confirma, puis c'est sans subtilité qu'il fit la requête d'un mano a mano avec elle, il n'utiliserais que ses poings. Un combat s'ensuivit.
Kyoko avait du mal à affronter un ennemi avec un entraînement comme celui-là, très discipliné et codifié pour correspondre à un standard militaire classique, mais à l'inverse, le Shinigami qui ne connaissait rien d'une méthode de combat sans règle, pur et brutal, n'arrivait pas toujours à bloquer ou esquiver, ainsi, ils passèrent les premières vingt minutes à se tourner autour, se jaugeant, tentant de se comprendre. Le combat proprement dit commença juste après la vint-et-unième minute, les coups pleuvait mais un seul fut décisif : le poing de Kyoko en plein visage de son adversaire, sonné, il essayait de reprendre sa garde, mais était désarçonné, le coup suivant le toucha au plexus... Il fini à genoux.
Loin d'être d'humeur à l'humilier, Kyoko lui tendit la main pour le relever, triomphante, mais il incanta un sort de Kido, elle n'avait jamais vu ça !
Le Shakka oh la frappant de plein fouet alors qu'elle n'avait aucune garde, brûlant son visage et lui arrachant un râle de rancune, le temps que l'exploser de Reaitsu qui l'avait frappée s’estompe fut suffisant pour lui cacher la vue... L'homme vint trancher à l'aide de son sabre le crâne de héroïne. Plus précisément, la pointe de l'épée la toucha très exactement au dessus de l'oeil gauche, puis fendit sa peau, sa chair, jusqu'au ventre, touchant une partie de sa cuisse. Le filet de sang qui en émana et la douleur sans égal qu'elle ressentit lui fit arracher un hurlement sans précédent. Elle s’effondra et mis exactement 2,02 secondes à perdre conscience, son seul souvenir ? Lui qui était sur le point de l'empaler de son épée au milieu de la tête.
Curieusement, elle avait cru aux premières paroles de duel honorable de la part d'un Shinigami, pourtant perçu comme un modèle pour ces choses-là et jusqu'ici, personne avant lui n'avait manquer à ce type de parole, pas même chez ceux qui sont pourtant perçu, comme des sauvages...
L'idée est que, l'honneur n'existe pas et cette erreur allait lui coûter la vie. Il ne devait utiliser que ses poings. Il avait tant d'autres atouts... Pourquoi ne pas en profiter ?
L'académie
Elle repris conscience quatre jours plus tard. Elle avait été sauvée de la mort par sa mère adoptive, elle en fut soulagée, mais alors qu'elle voulait la voir, on lui fit l'annonce que cette dernière fut tuée.
Kyoko était dévastée car la seule choses qu'elles s'étaient dites avant de se séparer était des horreurs. Avec le recul, Kyoko se disait qu'elle les pensaient toutes (au lieu de se faire dévorer par un certain sens de la culpabilité, elle assumait ses idées pleinement !) : sa mère était une nihiliste qui n'avait rien envie de faire à part attendre, alors que Kyoko, elle, rêvait d'autre chose, quoi, elle ne le savait pas encore, elle était seule au monde et venait de trouver un but, celui d'en trouver un, la première étape ? Retrouvé le salopard qui l'avait laissée à moitié morte et avait tuer Ryougi.
Elle se rendit à l'académie des Shinigami où elle s'inscrivit avec le nom "Kyoko Ryougi", son talent était certain, mais fut réduit à l'état de pipi de veau, passez-moi l'expression quand elle se rendit compte des quantités astronomiques de domaines que devait étudier un Shinigami, du Kido au maniement du sabre en passant par les arts-martiaux. Six ans de labeur acharné où elle se lia pour la première fois à d'autres personnes, avant d'avoir son diplôme et d'être envoyée à la deuxième division, regroupant les expert du Hakuda et les personnages les plus rapides et discrets, ce qu'elle n'était pas, en fait...
Elle devait apprendre à faire disparaître son aura, parasitée par la colère, devenir un fantôme. Sa prendra le temps, mais elle y arrivera jusqu'au jour où... elle rencontra un personnage bien connu, celui qui l'avait blessée des années plus tôt. Elle se rappela à son bon souvenir avant de lui faire la promesse qu'il allait payer cher, il lui donna rendez-vous dans une zone peu fréquenter pour faire le fameux match retour, mais comme à l’accoutumée, l'homme vint, mais cette fois, pas seul. Son manque d'honneur et de cran était consternant.
Kyoko, elle, était venue trois heures plus tôt pour préparer le terrain, posant des sorts de Kido de type "piège" ici et là, ça ne mettra pas longtemps pour elle, maintenant qu'elle était assez aguerrie et savait retourné les combines des Shinigamis contre eux pour repousser un à un les laquais de sa némésis...
Le combat en 1v1 était une redite du précédent, mais cette fois, dés le départ, il utilisait tous les atouts à sa disposition, Kido, sabre et même son, Shikai à un moment donné, quant à elle, tout ce qu'elle utilisa fut ses poings, comme elle l'a toujours dit, mais vint un moment où il était temps pour elle de "le" libérer. Après quoi, elle attaqua son ennemi exactement comme lui l'avait fait des années plutôt, lui infligeant exactement la même blessure, seulement, celle là était beaucoup plus profonde, cela le tua sur le coup alors qu'elle, débordante de Reaitsu, subissant le contre-coup de l'utilisation de son propre Shikai et une attaque de type Kido de dernière minute de son adversaire, elle perdit son bras droit, le membre finira vaporisé, simplement.
Même motivé par la vengeance et s'il est accidentel, un meurtre est un meurtre. Pour son crime, elle fut condamnée à une peine de prison au cinquième étage de la prison Avici. Elle fut coupée du monde, ratant beaucoup d'événements marquants, toutefois, alors qu'il lui restait encore un certain temps à purger, le capitaine-commandant lui-même vint à sa rencontre, lui posant une question simple :
"Est-tu prête à servir la Soul Society pour racheter ton crime ?"
Ce à quoi elle répondit que oui et croyez-moi, elle a eu plus que largement le temps de réfléchir à ce qu'elle ferait une fois dehors. Kyoko est et restera un personnage complexe, mais sa plus grande crainte est de retourner en prison, privé de toute possibilité de mouvement, de liberté quelque fut le temps qu'elle y passerais...
Partie cachée
Revenons quelques années en arrière, quand un certain Shinigami blessa Kyoko mortellement. Celui-ci là laissa à moitié morte avant de tenter de l'achevée, quelque jour plus tard, elle se réveilla et constata qu'elle avait survécu... Sans demander son reste, après s'être remise, elle laissa derrière elle toutes les personnes qu'elle connaissait, sa mère comprise, afin de s'engager comme Shinigami et un jour retrouver le salaud qui l'avait blessée dans sa fierté, plus que dans sa chaire...
Quand cette confrontation eu enfin lieue, des années plus tard, le Shinigami en question ne reconnu pas la personne qui l'accusait et pour la bonne raison qu'il ne s'agissait pas de la personne qu'il avait blessée et pour cause, la vraie Kyoko était déjà morte depuis déjà longtemps !
La personne qu'il avait en face de lui répondait au nom de Ryougi, certes, mais il s'agissait de la mère adoptive de Kyoko, il s'en souvient très bien parce que cette femme possédait un don pour les arts Shinigami absolument unique pour un simple habitant du Rukongai et c'était, armée d'un simple bâton qu'elle le força à prendre la fuite, déjà affaiblit par son précédent combat. Le mal était cependant fait.
"Kyoko" était morte, sa mère fut dévastée comme jamais. Le trait de caractère qui la définissait, était précisément cet aspect stagnant, nihiliste, d'émotions absentes, mais uniquement en façade, en réalité, cette personne ne savait juste pas comment faire pour exprimer ses pensées, ses inquiétudes, ses craintes. Sa fille le lui avait appris. Elle y tenait plus qu'à sa propre vie, sa propre santé mentale. "Ryougi" ferma son esprit, son cœur et son âme et rassembla tous les souvenirs qu'elle pouvait avoir de Kyoko, dans une transe provoquée par un chagrin dont elle pourrait mourir. Ils étaient limpides car sa mémoire très vive. Ensuite elle se mit à les superposés sur ses propres souvenirs, commença à agir comme elle aurait agit, penser comme elle aurait penser jusqu'à tout naturellement, devenir "elle". Kyoko aurait recherché la vengeance, elles étaient au moins d'accord sur ça.
Jusqu'à ce jour où, elle combattit le Shinigami qui tua Kyoko, il lui disait : vous n'êtes pas elle, je l'ai tuée et je vous tuerais aussi... Elle croyais dur comme fer à son simulacre. Pourtant la réalité la rattrapa très vite et pour en finir, dans un dernier sursaut de colère, la libération de leurs deux Zanpakuto provoqua une explosion imprévue qui lui coûta un bras, alors que son adversaire en profitait pour la taillader profondément.
Pour son crime, elle fut envoyée en prison pendant une période de temps assez longue pour qu'elle puisse « restaurer » son mensonge envers elle même : Je suis Kyoko Ryougi. Se répétât-elle pendant des années. Ses sens et ses mouvements, ayant été scellés, n'arrangeaient rien.
Il se pourrait bien qu'un jour, elle redevienne elle-même. Si cela arrivait, son devoir serait son nouveau but dans la vie, de même que, vivre pour la mémoire de cette fille perdue... |
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